Sans Dec a commenté After ® par Auriane Velten
After narre un roadtrip #postapocalyptique. Il est assez rapide à lire et pas désagréable. #SF #mastolivre #vendredilecture
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After narre un roadtrip #postapocalyptique. Il est assez rapide à lire et pas désagréable. #SF #mastolivre #vendredilecture
J’ai adoré ce roman, que j’ai eu un peu de mal à lâcher. Pour les personnes sensibles, il y est fait mention de viol, violences, oppressions, et validisme. La violence est omniprésente et les personnages sont d’une profondeur inouïe. #mastolivre #vendredilecture #SF #spaceopera
Ayant toujours apprécié les romans de cette autrice, je me suis plongée dedans, et j’ai eu du mal à le lâcher tant il est immersif. À noter que l’une des héroïnes est une femme paraplégique plutôt badass, l’autre une robote et une IA. La culture nigériane y est très présente, de même que l’IA, même si ce n’est pas le sujet principal. On sent que c’est le conte qui nous permet de vivre et d’êtres humaines. C’est un roman #SF inattendu et palpitant. #vendredilecture #mastolivre
@capitainesseblue@bouquins.zbeul.fr Ah quelle bonne idée ! du coup j'ai trouvé cette même traduction dans une édition numérisée : bw.heraut.eu/book/107238/s/fahrenheit-451 Un classique que j'ai vu au cinéma mais (sauf mémoire défaillante), que je n'ai jamais lu.
Année 2454. Trois siècles après des évènements meurtriers ayant remodelé la société, les concepts d’État-nation …
J’ai eu assez peu de temps pour lire cette semaine, mais je dois avoir dépassé les deux tiers. C’est une enquête au 23ème siècle sur un vol de liste qui est capitale pour l’équilibre politique, mais je ne suis pas à 100% sûre d’avoir compris pourquoi elle est si importante, ni qui l’a écrite.
Le roman est assez confus, pour ne pas dire bordélique, bien qu’il respecte un ordre chronologique. Mais dans cet ordre on saute parfois du coq à l’âne avec foule de personnages qu’on doit retenir. Il y a fréquemment des commentaires de lecteurs râgeux (inventés par le narrateur en plus, et dans une langue proche de la nôtre mais pas tout à fait, on dirait la version neutre de notre langue mais dans une structure proche du Français du XVIe siècle), qui sont complètement inutiles la plupart du temps, et même pas drôles. Cela ajoute grandement à …
J’ai eu assez peu de temps pour lire cette semaine, mais je dois avoir dépassé les deux tiers. C’est une enquête au 23ème siècle sur un vol de liste qui est capitale pour l’équilibre politique, mais je ne suis pas à 100% sûre d’avoir compris pourquoi elle est si importante, ni qui l’a écrite.
Le roman est assez confus, pour ne pas dire bordélique, bien qu’il respecte un ordre chronologique. Mais dans cet ordre on saute parfois du coq à l’âne avec foule de personnages qu’on doit retenir. Il y a fréquemment des commentaires de lecteurs râgeux (inventés par le narrateur en plus, et dans une langue proche de la nôtre mais pas tout à fait, on dirait la version neutre de notre langue mais dans une structure proche du Français du XVIe siècle), qui sont complètement inutiles la plupart du temps, et même pas drôles. Cela ajoute grandement à la confusion sans trop éclairer sur ce qu’on devrait savoir.
Par ailleurs le narrateur joue avec les genres de façon un peu aléatoire. De certains personnages il dira que c’est visiblement une femme mais va dire "il" parce qu’habillé comme un homme… Le futur duquel il parle a banni les genres de la langue, mais il prend le parti de les utiliser quand même « comme au XVIIIème Siècle », tout en jouant avec, mais en reprenant le neutre dans les dialogues. Garder du neutre tout le long m’aurait moins choqué que de lire des trucs du style « je dis il même si c’est visiblement une femme, mais il s’habille et se conduit comme un homme » (je paraphrase). Cela alourdit ridiculement la narration sans rien ajouter au récit, et encore moins aux personnages. À noter que lea traducteurice a pris le parti de traduire littéralement le "they" neutre anglophone par un "on" ; c’est compréhensible et n’ajoute pas spécialement de difficulté. Bref, je vais le finir, mais il est probable que je ne lirai pas les suites.
Ce roman partiellement épistolaire est difficile à classer. Il y a un côté eau de rose indéniable. Poétique et sensuel, ce roman nous entraîne au travers du multivers et du temps, que deux entités manipulent à l’envi en envoyant des agentes pour tuer, orienter, influer. Les êtres humains y sont des objets fragiles et des jouets d’un destin décidé par des abstractions. J’y ai goûté chaque mot. #mastolivre #vendredilecture #SF #fantasy
À celleux qui pleurnichent à chaque expérimentation lexicale inclusive : ce roman n’est pas pour vous, et ce serait triste que tout soit à votre image et écrit pour vous. Tout est en pronoms neutres avec quelques néologismes dûs au fait qu’une partie de l’intrigue est racontée par les personnages à la première personne.
C’est une une enquête menée longtemps après l’exode des êtres humains. En étant arrivée au tiers, je trouve ce roman bien mené et prometteur. #vendredilecture #mastolivre #SF #spaceopera
Kazuo Ishiguro, Anne Rabinovitch: Klara et le Soleil (Paperback, French language, 2021, GALLIMARD)
"Klara and the Sun, the first novel by Kazuo Ishiguro since he was awarded the …
Une AA (amie artificielle) raconte son histoire, du magasin à (ne divulgâchons pas, même si je ne vous en recommanderai pas la lecture). Cela pose la question de l’IA sans réellement poser de question. J’ai l’impression que c’est un peu brouillon. J’ai mis du temps à comprendre ce que c’était que ces "boites", et encore, pas sûre d’avoir tout compris. Le roman est à la première personne, donc on ne voit que ce que Klara voit et comprend. On a donc un peu de mal à comprendre le monde dans lequel elle évolue. C’est pourquoi j’ai un avis assez mitigé. Je ne l’ai pas détesté, mais pas aimé non plus. #mastolivre #SF #vendredilecture
plus de 10 siècles après l’exode des humains, une colonisation commence, sur une planète évoquant des cultures d’inspiration orientale. Les oubliés sont celles et ceux qu’on a laissé de côté, comme d’habitude. C’est un roman intéressant et agréable à lire. Mais tout comme "Quitter les monts d'automne " de la même autrice, ça se termine un peu rapidement. #SF #space-opera #mastolivre
Ce que mon séjour dans la Silicon Valley m'a vraiment appris, c'est que si nous avons encore en France l'horizon d'une émancipation collective, aux États-Unis, la libération s'est d'emblée conçue comme individuelle, et dès la contre-culture hippie. À l'opposé de ça, la volte, c'est toujours le collectif. La horde, c'est toujours le collectif. Les furtifs, c'est toujours collectif ! Rien de ce que j'ai écrit n'est fondé sur la libération de l'individu comme entité solitaire. Ça c'est le rêve du néolibéralisme, sa limite profonde : il ne crois pas que les liens puissent libérer. Il les voit d'abord sinon uniquement comme des chaînes. C'est effectivement un motif viscéral de désespoir. Le biopunk, ce serait l'inverse sur cet axe-ci : comprendre que les interdépendances entre les êtres trament un milieu fécond et nourricier, une étoffe dont sont tissées nos libertés réelles. Rien de plus jouissif qu'un groupe qui marche bien, qui s'éclate, qui crée ensemble. Rien de plus intense qu'une amitié ou un amour qui t'ouvre au monde.
— Pourquoi lire de la science-fiction et de la fantasy ? (et aller chez son libraire) : Manifeste pour les littératures de l'imaginaire de Ariel Kyrou, Jérôme Vincent
Extrait de l'entrevue avec Alain Damasio, « Du cyberpunk au biopunk », p. 392-409 #SF #science-fiction #SFFF #biopunk #politique
(...) la SF est le genre le plus important pour notre époque, le plus libre et le plus puissant si tu veux interroger l'humanité et son futur. (...) c'est un outil fantastique pour penser et faire penser, pour faire de la politique intelligente et fine. Ma lecture du genre, qui vaut ce qu'elle vaut, est que la science-fiction a été dominée dans les cinquante dernières années par le cyberpunk et sa promesse indirecte ou souterraine d'émancipation des corps et des esprits par la technologie. Dès le début pourtant, et c'est le sens du suffixe « punk », les écrivains devinent déjà que ça va foirer, que le cyber comme augmentation de l'humain va être dévoyé, tordu, sali du dedans par les corporations et le capitalisme, par les pulsions de pouvoir de domination, la lâcheté et l'avidité, etc. Malgré tout, la promesse a été reprise par moultes entreprises de la Tech, les GAFAM en tête, par Apple par exemple, qui fait du « cyberpunk washing ». Ils ont préservé la promesse de libération par la techno, mais sans ce que ça implique de merde, de crasse, de dégradations, de perversions, etc. Ce n'est qu'une libération publicitaire, strictement individuelle. (...) La trahison de la promesses cyberpunk, son retournement en une immense machination de la dépendance, est le grand événement du XXIe siècle, bien plus important que toutes les guerres parce qu'elles structurent le quotidien de 6 ou 7 milliards d'individus dans tous les pays du monde. (...) Si tu crois à la puissance libératrice de la science-fiction, cette trahison implique de faire émerger un autre paradigme. Et cet autre paradigme, à mes yeux, c'est le vivant, à la fois animal et végétal, les bactéries, les virus, les champignons autant que les biotopes, c'est notre rapport à renouer avec les rivières, la montagne, l'océan, les forces. J'appelle ça le biopunk, même si le mot sonne un peu schtroumpf.
— Pourquoi lire de la science-fiction et de la fantasy ? (et aller chez son libraire) : Manifeste pour les littératures de l'imaginaire de Ariel Kyrou, Jérôme Vincent
Extrait de l'entrevue avec Alain Damasio, « Du cyberpunk au biopunk », p. 392-409 #SF #science-fiction #SFFF #biopunk #cyberpunk
Station Eleven d’Emily St. John Mandel C’est un carnet de voyage #postapocalyptique , j’en suis à la moitié. C’est une #dystopie très vraisemblable, surtout post-covid (oui on y est encore, calmez-vous). C’est très américain aussi par le côté sectes flippantes et camping dans les Wallmarts. Pour le moment en tout cas j’aime beaucoup.
Les nuages de Magellan d’ @EstelleFaye1@imaginair.es C’est un roadmovie spatial, très visuel, avec des personnages attachants. Le roman serait presque trop court. C’est une invitation à toujours garder la tête dans les étoiles. #vendredilecture #mastolivre #SF #spaceopera
Sequel to The Three-Body Problem.
La Forêt sombre de Cixin Liu Bon, après avoir laborieusement fini le premier tome du Problème à trois corps que je n’ai pas spécialement apprécié, j’ai voulu laisser une seconde chance en lisant le second tome. J’en ai lu 20% à peu près, soit plus de 100 pages.
Mais entre le style très monotone (probable problème de traduction), les dialogues qui tombent à plat et dont on questionne parfois la pertinence, le passage d’un personnage à l’autre sans logique apparente autre que la chronologie, des extraterrestres qui s’expriment comme des humains, alors que… bon (je ne divulgâcherais pas plus), et l’entre-soi masculin que je trouvais déjà lourd au premier tome — déjà alourdi par le fait que les femmes sont au pire coupables, au mieux inexistantes —, je crois que je vais laisser tomber et passer à autre chose. Soit ce n’était pas le bon moment pour le lire, soit …
La Forêt sombre de Cixin Liu Bon, après avoir laborieusement fini le premier tome du Problème à trois corps que je n’ai pas spécialement apprécié, j’ai voulu laisser une seconde chance en lisant le second tome. J’en ai lu 20% à peu près, soit plus de 100 pages.
Mais entre le style très monotone (probable problème de traduction), les dialogues qui tombent à plat et dont on questionne parfois la pertinence, le passage d’un personnage à l’autre sans logique apparente autre que la chronologie, des extraterrestres qui s’expriment comme des humains, alors que… bon (je ne divulgâcherais pas plus), et l’entre-soi masculin que je trouvais déjà lourd au premier tome — déjà alourdi par le fait que les femmes sont au pire coupables, au mieux inexistantes —, je crois que je vais laisser tomber et passer à autre chose. Soit ce n’était pas le bon moment pour le lire, soit c’est une vraie déception. J’opterais pour la deuxième option. #sf #mastolivre
En pleine Révolution culturelle, le pouvoir chinois construit la base militaire secrète de Côte Rouge, …
Le problème à trois corps de Liu Cixin Il me reste un gros quart à lire. Je trouve le style un peu plat, mais ça peut être un problème de traduction ; ce n’est pas la première fois que je constate à quel point la traduction est importante. L’histoire est plutôt bien menée, bien que j’aie un peu de mal à m’y plonger complètement. Bref, mon avis est plutôt mitigé. Je ne sais pas encore si je lirai la suite.