Sans Dec a commenté After ® par Auriane Velten
After narre un roadtrip #postapocalyptique. Il est assez rapide à lire et pas désagréable. #SF #mastolivre #vendredilecture
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After narre un roadtrip #postapocalyptique. Il est assez rapide à lire et pas désagréable. #SF #mastolivre #vendredilecture
J’ai adoré ce roman, que j’ai eu un peu de mal à lâcher. Pour les personnes sensibles, il y est fait mention de viol, violences, oppressions, et validisme. La violence est omniprésente et les personnages sont d’une profondeur inouïe. #mastolivre #vendredilecture #SF #spaceopera
Vu la météo j’ai passé mon temps à lire, et malgré ses 508 pages, j’ai dépassé les trois quarts. cet·te auteurice a vraiment beaucoup de talent. Je pondrai mes conclusions plus tard. Sinon, premier livre papier depuis des lustres (pas trouvé en ebook), les petits caractères de livre de poche conviennent assez peu à ma vieillerie 😅 D’ailleurs si quelqu’un veut récupérer le bouquin faites-moi signe, sinon je le laisserai dans une boîte à livre quelque part.
J’ai presque fini. C’est très bien écrit, bien que l’utilisation de caractères typographiques pour indiquer qui parle est un peu déroutant. J’ai un peu de mal à me concentrer dessus, ce n’était peut-être pas le bon moment pour le commencer.
La cohérence de l’histoire en elle-même m’échappe un peu : vu ce qui semble être un enjeu majeur d’atteindre l’origine du vent, ne former qu’une seule horde par génération, alors que l’éducation des futurs membres de la horde prend du temps, et que le voyage à pieds est obligatoire et extrêmement long, me parait peu vraisemblable. Le pire étant que cette horde unique passe par un chemin unique : tout droit. Et si le chemin est mortel, tant pis. Et si quelqu’un pouvait les rapprocher un peu en les conduisant, tant pis aussi, c’est à pieds que ça se passe. C’est la trente-quatrième horde, 34 générations pour apprendre la cause …
J’ai presque fini. C’est très bien écrit, bien que l’utilisation de caractères typographiques pour indiquer qui parle est un peu déroutant. J’ai un peu de mal à me concentrer dessus, ce n’était peut-être pas le bon moment pour le commencer.
La cohérence de l’histoire en elle-même m’échappe un peu : vu ce qui semble être un enjeu majeur d’atteindre l’origine du vent, ne former qu’une seule horde par génération, alors que l’éducation des futurs membres de la horde prend du temps, et que le voyage à pieds est obligatoire et extrêmement long, me parait peu vraisemblable. Le pire étant que cette horde unique passe par un chemin unique : tout droit. Et si le chemin est mortel, tant pis. Et si quelqu’un pouvait les rapprocher un peu en les conduisant, tant pis aussi, c’est à pieds que ça se passe. C’est la trente-quatrième horde, 34 générations pour apprendre la cause de la violence du vent. Ça ne paraît pas très logique.
Ayant toujours apprécié les romans de cette autrice, je me suis plongée dedans, et j’ai eu du mal à le lâcher tant il est immersif. À noter que l’une des héroïnes est une femme paraplégique plutôt badass, l’autre une robote et une IA. La culture nigériane y est très présente, de même que l’IA, même si ce n’est pas le sujet principal. On sent que c’est le conte qui nous permet de vivre et d’êtres humaines. C’est un roman #SF inattendu et palpitant. #vendredilecture #mastolivre
Année 2454. Trois siècles après des évènements meurtriers ayant remodelé la société, les concepts d’État-nation …
J’ai eu assez peu de temps pour lire cette semaine, mais je dois avoir dépassé les deux tiers. C’est une enquête au 23ème siècle sur un vol de liste qui est capitale pour l’équilibre politique, mais je ne suis pas à 100% sûre d’avoir compris pourquoi elle est si importante, ni qui l’a écrite.
Le roman est assez confus, pour ne pas dire bordélique, bien qu’il respecte un ordre chronologique. Mais dans cet ordre on saute parfois du coq à l’âne avec foule de personnages qu’on doit retenir. Il y a fréquemment des commentaires de lecteurs râgeux (inventés par le narrateur en plus, et dans une langue proche de la nôtre mais pas tout à fait, on dirait la version neutre de notre langue mais dans une structure proche du Français du XVIe siècle), qui sont complètement inutiles la plupart du temps, et même pas drôles. Cela ajoute grandement à …
J’ai eu assez peu de temps pour lire cette semaine, mais je dois avoir dépassé les deux tiers. C’est une enquête au 23ème siècle sur un vol de liste qui est capitale pour l’équilibre politique, mais je ne suis pas à 100% sûre d’avoir compris pourquoi elle est si importante, ni qui l’a écrite.
Le roman est assez confus, pour ne pas dire bordélique, bien qu’il respecte un ordre chronologique. Mais dans cet ordre on saute parfois du coq à l’âne avec foule de personnages qu’on doit retenir. Il y a fréquemment des commentaires de lecteurs râgeux (inventés par le narrateur en plus, et dans une langue proche de la nôtre mais pas tout à fait, on dirait la version neutre de notre langue mais dans une structure proche du Français du XVIe siècle), qui sont complètement inutiles la plupart du temps, et même pas drôles. Cela ajoute grandement à la confusion sans trop éclairer sur ce qu’on devrait savoir.
Par ailleurs le narrateur joue avec les genres de façon un peu aléatoire. De certains personnages il dira que c’est visiblement une femme mais va dire "il" parce qu’habillé comme un homme… Le futur duquel il parle a banni les genres de la langue, mais il prend le parti de les utiliser quand même « comme au XVIIIème Siècle », tout en jouant avec, mais en reprenant le neutre dans les dialogues. Garder du neutre tout le long m’aurait moins choqué que de lire des trucs du style « je dis il même si c’est visiblement une femme, mais il s’habille et se conduit comme un homme » (je paraphrase). Cela alourdit ridiculement la narration sans rien ajouter au récit, et encore moins aux personnages. À noter que lea traducteurice a pris le parti de traduire littéralement le "they" neutre anglophone par un "on" ; c’est compréhensible et n’ajoute pas spécialement de difficulté. Bref, je vais le finir, mais il est probable que je ne lirai pas les suites.
Année 2454. Trois siècles après des évènements meurtriers ayant remodelé la société, les concepts d’État-nation …
je l’ai commencé avec un gros doute, car certaines personnes parmi vous l’ont trouvé compliqué, voire indigeste. Mais bon, vu que je l’avais déjà avant de connaître ces commentaires… Je me suis dit qu’il valait mieux le lire avant d’être complètement découragée. 😅 Le style est un peu fouillis car les parenthèses sont nombreuses. Donc il faut s’accrocher, surtout que la structure sociale de ce roman SF semble assez complexe. #mastolivre
Ce roman partiellement épistolaire est difficile à classer. Il y a un côté eau de rose indéniable. Poétique et sensuel, ce roman nous entraîne au travers du multivers et du temps, que deux entités manipulent à l’envi en envoyant des agentes pour tuer, orienter, influer. Les êtres humains y sont des objets fragiles et des jouets d’un destin décidé par des abstractions. J’y ai goûté chaque mot. #mastolivre #vendredilecture #SF #fantasy
À celleux qui pleurnichent à chaque expérimentation lexicale inclusive : ce roman n’est pas pour vous, et ce serait triste que tout soit à votre image et écrit pour vous. Tout est en pronoms neutres avec quelques néologismes dûs au fait qu’une partie de l’intrigue est racontée par les personnages à la première personne.
C’est une une enquête menée longtemps après l’exode des êtres humains. En étant arrivée au tiers, je trouve ce roman bien mené et prometteur. #vendredilecture #mastolivre #SF #spaceopera
Au vu du contexte actuel, ne lisez ce livre qu’après avoir lu La Parabole du Semeur, et avoir pris connaissance du fait qu’il y a des mentions très explicites de viols, violences et maltraitances diverses. Sans parler du fait que le contexte actuel rend ce roman profondément déprimant : réchauffement climatique, hypercapitalisme, rétablissement de l’esclavage, extrémisme religieux… C’est un très bon roman et une très bonne duologie qui donne à réfléchir, même si le prosélytisme et la foi chrétienne ne sont pas du tout ma tasse de thé. #mastolivre #vendredilecture
Mais l’officiel pour mon Esternome de papa c’était cette nègresclave qu’il tenait dans ses bras et qu’il ne lâchait plus. Elle lui avait été offerte par le vent d’allégresse. Sa bouche s’était posée sur la sienne, il l’avait embrassé tchoup, elle l’avait embrassé, ils s’embrassaient encore en hurlant Pa ni mèt ankô ! Il n’y a plus de Maîtres !… Il y eut dans leurs doigts l’enlacement des charpentes. Dans leur cœur, il y eut la prise d’une maçonnerie. Il fut content d’elle. Elle fut contente de lui. Ils coururent ensemble à travers la place comme courent les enfants, questionnant par ici et questionnant par là, écoutant les milâtes qui tenaient grandes tirades dans des rondes enfiévrées, riant des vieux békés qui déboulaient des mornes en voitures affolées.
— Texaco de Patrick Chamoiseau
La littérature de Patrick Chamoiseau se déguste comme un met délicieux. Les mots, vivants, créoles, aux accents multiples et innombrables, chantent à nos oreilles. Quelle merveille !
#littérature #lecture #livre #extrait #PatrickChamoiseau #créole #Martinique #Antilles #MastoLivre #BookWyrm #BookWyrmFR
Je continue la lecture de la saga nunuche addictive des Chronique de San Francisco en commençant le second tome de l’intégrale. Nunuche parce que l’intrigue tourne un peu autour des relations amoureuses des personnages, même si le plus intéressant dans tout ça, c’est la richesse de ces personnages, le contexte historique et culturel qui proposent un tableau très coloré de ce que peut être la ville. Avec ce tome 2 on entre dans les années 80 et on se prend l’ère du Sida de plein fouet. On sent dès le départ qu’il va y avoir un changement d’ambiance. #vendredilecture #mastolivre #roman
C'est en lisant cet article sur les gardiennes de camps de concentration que m'est venue l'envie de lire ce livre : theconversation.com/gardiennes-de-camps-de-concentration-nazis-la-veritable-horreur-cest-quelles-nous-ressemblent-241289
#lecture #livre #MastoLivre #littérature #nazisme #Holocauste #Shoah #génocide #BookWyrm #BookWyrmFR
La littérature "classique" ne m’intéresse plus trop depuis longtemps, depuis mes études de Lettres en fait. Mais je suis tombée sur le premier tome des Chroniques de San Francisco par hasard au début des années 2000. Et je me souviens de l’avoir dévoré. En l’évoquant au détour d’une conversation, j’ai fait une recherche et me suis aperçue qu’Armistead Maupin avait continué à en écrire et que j’en avais quatre de retard (le quatrième pas encore traduit). J’ai donc racheté les ebooks (neuf tomes réunis en 3) et j’ai recommencé la série depuis le début. Et j’ai donc entamé le premier tome avant-hier dans le train. Et je ne regrette pas, c’est un roman haut en couleurs et addictif. Tous les tomes ne sont pas égaux mais les personnages, eux, sont très attachants. (le DRM LCP me permet de le prêter si ça vous dit) #vendredilecture #mastolivre #roman
Kazuo Ishiguro, Anne Rabinovitch: Klara et le Soleil (Paperback, French language, 2021, GALLIMARD)
"Klara and the Sun, the first novel by Kazuo Ishiguro since he was awarded the …
Une AA (amie artificielle) raconte son histoire, du magasin à (ne divulgâchons pas, même si je ne vous en recommanderai pas la lecture). Cela pose la question de l’IA sans réellement poser de question. J’ai l’impression que c’est un peu brouillon. J’ai mis du temps à comprendre ce que c’était que ces "boites", et encore, pas sûre d’avoir tout compris. Le roman est à la première personne, donc on ne voit que ce que Klara voit et comprend. On a donc un peu de mal à comprendre le monde dans lequel elle évolue. C’est pourquoi j’ai un avis assez mitigé. Je ne l’ai pas détesté, mais pas aimé non plus. #mastolivre #SF #vendredilecture