Room of one's own

Pas de couverture

Virginia Woolf: Room of one's own (Paperback, Dutch language, 1977, De Bezige Bij)

softcover, ingenaaid, 124 pages

Langue : Dutch

Publié 27 juillet 1977 par De Bezige Bij.

ISBN :
978-90-234-1519-0
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5 étoiles (2 critiques)

Virginia Woolf: "Hoe kan ik u nu verder aanmoedigen u aan het leven te wagen? Jonge vrouwen...u bent naar mijn mening schandelijk onwetend, u heeft nooit enige ontdekking van belang gedaan. U hebt nooit een rijk op zijn grondvesten doen schudden of een leger ten strijde gevoerd. De toneelstukken van Shakespeare zijn niet door u geschreven....wat is uw verontschuldiging?" In "Een kamer voor jezelf" speelt Virginia Woolf met de gedachte dat William Shakespear een zuster heeft gehad, Judith, die even begaafd was als hij, maar zich nooit heeft kunnen ontplooien. Nu geloof ik dat deze dichteres, die nooit een woord heeft geschreven, en begraven ligt aan een zijweg, nog altijd leeft, besluit Virginia Woolf. (bron: www.bol.com/nl/p/een-kamer-voor-jezelf/1001004001511843/)

97 éditions

Un magnifique petit bout de littérature

5 étoiles

De quoi nous parle ce petit bouquin ? De femmes et de fiction. Plus précisément, des femmes romancière et poétesses. Ou plutôt de leur absence. « Beaucoup de livres écrits par des hommes parlent de femmes, mais il y a très peu de femmes qui parlent d'hommes ». On est pas du tout dans une conférence ou un écrit académique (même si l'autrice connaît très bien ses classiques). Woolf nous déroule le fil de ses pensées sur les deux jours précédant la conférence. Il ne s'y passe factuellement pas grand chose: elle marche sur une pelouse, se voit refuser l'accès à la bibliothèque, mange bien le midi et mal le soir. Mais ce qui importe, c'est ce que ces événements suscitent tout un tas de pensées qui éclosent de manière un peu foutraque, comme les bulles d'une eau en train de frémir.

La thèse qu'elle défend parmi tant d'autres est …